Le lobe à terre, c'est toi !
(d’après Le globe terrestre, c'est moi ! de Lilasys)
(d’après Le globe terrestre, c'est moi ! de Lilasys)
Certains me ratissent le lobe pas net, gronde mon air,
Je fuis l’énorme ballon surfait des altesses aux faux boniments,
Le joyau dont la fleur est bafouée de futiles actionnaires,
Où tous évitent la cocarde des trêves en ciment.
Aucun secours pour notre futur millénaire,
Les mères sur leurs séants dégorgent en vos sentiments,
C’est comme déposant des nouveaux pieds en sarclant les propriétaires,
Toutes Maria aveuglées par un regain d’abattements.
L’article de fond est inhumain où émane de mauvais caractères,
Déporte sur toi l’émoi de toutes les douleurs, docilement,
Ton centre, ton geste est celui de ne pas te taire,
Revois tes chants pour les poudrer de bactéricides autrement.
Unis, vers parés de tous tes diamants à vouloir nous plaire,
Serais-je le seul témoin de ta nostalgie et de tes aboiements,
Le céleste qu’on voit déporté par cette imaginaire galère,
Entre faux et jeux, plus qu’un cri, mais sans apitoiement.
Où graffiter nos lustres d’antan dans nos pays d’allocataires ?
Celle qui gratouille avec sa plume des vers de juste maman,
L’or se loge et tourne encore comme l’anguille, cette humanitaire,
Elle sert et console. Quels beaux sentiments !….
Je fuis l’énorme ballon surfait des altesses aux faux boniments,
Le joyau dont la fleur est bafouée de futiles actionnaires,
Où tous évitent la cocarde des trêves en ciment.
Aucun secours pour notre futur millénaire,
Les mères sur leurs séants dégorgent en vos sentiments,
C’est comme déposant des nouveaux pieds en sarclant les propriétaires,
Toutes Maria aveuglées par un regain d’abattements.
L’article de fond est inhumain où émane de mauvais caractères,
Déporte sur toi l’émoi de toutes les douleurs, docilement,
Ton centre, ton geste est celui de ne pas te taire,
Revois tes chants pour les poudrer de bactéricides autrement.
Unis, vers parés de tous tes diamants à vouloir nous plaire,
Serais-je le seul témoin de ta nostalgie et de tes aboiements,
Le céleste qu’on voit déporté par cette imaginaire galère,
Entre faux et jeux, plus qu’un cri, mais sans apitoiement.
Où graffiter nos lustres d’antan dans nos pays d’allocataires ?
Celle qui gratouille avec sa plume des vers de juste maman,
L’or se loge et tourne encore comme l’anguille, cette humanitaire,
Elle sert et console. Quels beaux sentiments !….
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